Fin de soirée. Un jeu mouvementé, des verres enchaînés et un corps chaud comme la braise. J’ai vu la plus belle apparition divine ce soir : Autumn, la colocataire de ma sœur et depuis ce jeu, elle ne m’a quitté. Oui oui, la blonde sulfureuse est resté à mes côtés durant tout le jeu et ça, mon cher ami d’en bas peut en témoigner. Mon corps se veut brûlant de désir et alors que ce petit comité met peu à peu, je poursuis ma proximité avec la belle : C’était une soirée enrichissante en nouvelle connaissance ! Dis-je en brisant peu à peu un peu plus la distance. Nous sommes un peu à l’écart de la sortie où les autres se pressent pour partir de l’appartement que la blonde partage avec la sœur.

soirée intéressante, improbable en certains points d'ailleurs mais surprenante aussi. Lui, invité de Lola, son frère que je finis par apprendre ne me rend pas indifférente. Il est beau, il semble un brin mystérieux aussi mais est aussi dans le même délire que moi. Attraction qui augmente, un jeu presque collé l'un à l'autre. Le fil de la soirée ne fait qu'augmenter cette attention soudaine. Mon corps peu à peu brûlant d'un désir qu'il n'avait pas vu venir, ce n'est pas pour me déplaire. Le petit comité commençant à partir, je m'écarte de la sortie, en bonne compagnie je suis certaine que tu es ravi d'avoir fais le déplacement lui dis-je, joueuse et sure de moi tu es pressé ? question loin d'être innocente

Nos corps se rapprochent peu à peu. La jeune femme ne semble pas s’en plaindre. A l’écart, nous oublions presque les autres. Je sens son souffle si proche de moi, son corps que j’aimerais attraper et je sens le mien se rendre de plus en plus. J’aime son caractère spontané, ce côté séducteur, mais sûre d’elle. Et je suis certain que tu es très heureuse que je sois venu... dis-je en approchant ma bouche de la sienne pour venir frôler la commissure de ses lèvres. Je glisse vers son oreille pour susurrer alors : Si je ne suis pas pressé, que se passera t il Princesse ? Dis-je d’un ton suave. Je passe une main dans mes cheveux et plonge mon regard dans le sien.

@Autumn Tatum

joueur et loin d'être un amateur, nous semblons être sur la même longueur d'onde. Levant les yeux au ciel, faisant mine de réfléchir alors que ta bouche s'approche dangereusement de la mienne sans s'y poser. tu as l'air bien sur de toi rétorque-je alors que mon corps continue de chauffer près du sien. Petit sourire en coin en l'écoutant me poser cette question. ça, il faudra rester pour le découvrir joueuse? A peine. Ma main frôlant finalement la sienne, invitation subtile mais censée.

La belle Autumn se montre de plus en plus joyeuse et taquine. De même, mon corps est de plus en plus chaud et taquin. Nos regards se combattent sensuellement. Provocation. Défi. La belle ne l’avouera pas, mais elle rêve que je reste. Sa main vient toucher la mienne et ma peau s’électrise. Je ne conserve aucune barrière et j’oublie le petit monde autour, je dépose mes lèvres sensuellement sur les siennes osant braver la verrière de ses lèvres pour une courte danse entre nos langues. Je pose une main sur son visage avant de la regarder droit dans les yeux de nouveau : Et si tu m’emmenais ? Je voulais que la blonde m’emmène dans sa chambre et je comptais bien lui faire sa fête... enfin et vice versa.

j'ose, je joue, et je risque de me brûler les ailes, mais je parviendrai à mes fins comme il arrivera à assouvir ses envies lui même. Deux joueurs dans une arène, deux joueurs prêts à laisser parler leurs corps. Mais pour l'heure, bien qu'aimer par une impatience soudaine, je fais durer le plaisir jusqu'à ce qu'il dépose ses lèvres sur les miennes, me perdant finalement dans un baiser sensuel, laissant nos langues danser entre elles pour une courte durée. est ce que tu le merites ? je joue mais je coule, prenant sa main dans la mienne, oubliant tout le reste pour l'emmener jusqu'à ma chambre. Toute cette tension ne cherche qu'à exploser. Petit sourire coquin, je ferme la porte de ma chambre, et le plaque contre celle-ci. Un petit bruit sourd, son dos qui cogne contre la porte et mon corps se collant au sien ta sœur va me tuer doux murmure avant que la bouche se colle à la sienne pour un baiser plus ardent, plus long, ma main frôlant la sienne avant de descendre doucement le long de son corps.

un baiser échange. Des langues qui s’enflamment et dansent. Ma chaleur est à son point culminant, on n’est sur une chaleur de désert. Elle joue avec mes nerfs et me demande si je mérite. Pourtant, comme prise par la peur et dans un moment de désir extrême, Autumn ne me laisse pas répondre. Elle se contente de l’emmener dans sa chambre. Nous entrons dans sa pièce personnelle. La belle blonde sulfureuse ferme la porte et me surprend : elle me colle presque violemment contre la porte. Un bruit se fait clairement entendre dans l’appartement. Elle fond sur mes lèvres pour un baiser des plus langoureux. C’est moi le grand frere elle n’a rien à dire ! Avais-je quelque peu essoufflé par la surprise de la fougue de la demoiselle. Notre baiser reprend de plus belle et ses mains se veulent baladeuses. Elles descendent doucement. Je profite d’un instant de distraction pour prendre le dessus. J’attrape ses deux poignets et je la colle à mon tour contre la porte. J’embrasse son cou passionnément. Ma main fonce sur sa jambe et l’attrape pour la lever légèrement. Je déguste son cou avec un plaisir bien trop grand et je descend bientôt sur son joli décolleté. Je dépose quelques baisers levant de temps en temps mes yeux vers les siens comme pour happer son regard.

Je me frotte et je me pique. Désir ardent, plaisir accru, un baiser volé le temps d'un instant et voilà que je l'emmène jusqu'à ma chambre pour ne plus perdre de temps. Le palpitant un peu trop élevé quand je le colle contre la porte. Un bruit sourd résonne, une grimace sur mon visage avant de laisser place à un sourire qui se veut coquin. Des idées déjà plein la tête, c'est un nouveau baiser, cette fois ci plus passionné, plus langoureux mais surtout plus dangereux que j'ose amorcer. Emrys ne se fait pas prier et prend finalement le dessus. Prisonnière d'un homme tout aussi sauvage que moi. Je me mords la lèvre alors que les siennes se perdent dans mon cou, sur ma poitrine bien généreuse. Fermant les yeux un court instant, ma respiration plus vive, plus forte, la chaleur de mon corps prête à bondir. t'es trop habillé... l'impatience me guette